top of page

SIMON ABKARIAN

MISTER

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Simon begins theater in Los Angeles in a company directed by Gerald Papasian. In 1985, he joins Ariane Mnouchkine's Théâtre du Soleil in Paris. He then works with Irina Brook in "A beast on the Moon" by Richard Kalinoski and wins the Molière award for Best Actor in 2001. He also works with several directors such as Silviu Purcarete, Antoine Campo, Simon McBurney, Peter Brook, Cécile Garcia-Fogel...

 

Simon has been directing plays since 1998, including "Love's Labour's Lost" by Shakespeare or "L'Ultime Chant de Troie". In 2008, Simon writes and directs "Pénélope, Ô Pénélope", then "Ménélas Rapsodie" in 2013, and "Le dernier jour du jeûne" in March 2014.

 

Simon starts playing in feature films with Cédric Klapisch in "When the Cat's Away" and "Not For, Or Against (Quite the Contrary)". He then plays in "Bat out of Hell" by Xavier Durringer, "Tempest (in a Tea Pot)" by Arnold Barkus, and "Ararat" by Atom Egoyan.

In 2002, he is given the lead role in "Almost Peaceful" by Michel Deville. He then plays in "The Truth about Charlie" by Jonathan Demme, "Yes" by Sally Potter, and "I saw Ben Barka get killed" by Serge Le Péron. He receives many 'Best Actor' awards for his role in "To Take a Wife" by Ronit Elkabetz. In 2005, he is the bad guy in "Casino Royale", a James Bond film directed by Martin Campbell. He also works with Robert Guédiguian in "Journey to Armenia" and "Army of Crime", then with Bourlem Guerdjou, Marie-Pascale Osterrieth, Frédéric Balekdjian or Thomas Lilti.

 

He is very successful on television as well, in "Pigalle, la Nuit" by Hervé Hadmar or "Kaboul Kitchen", both Canal + series, or in the film "Qu'est-ce qu'on va faire de toi ?" by Jean-Daniel Verhaeghe.

 

 At the same time, he plays in Kathryn Bigelow's "Zero Dark Thirty" and also in a number of other feature films by directors such as Frédéric Berthe, Fabrice du Welz, Ronit Elkabetz or Fatih Akin.

MONSIEUR

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Simon commence le théâtre à Los Angeles dans une compagnie dirigée par Gérald Papasian. À Paris en 1985, il entre au Théâtre du Soleil d'Ariane Mnouchkine. Ensuite il travaille avec Irina Brook dans « Une bête sur la lune » de Richard Kalinoski et obtient le Molière du meilleur comédien en 2001. Il collabore également avec plusieurs metteurs en scène tels Silviu Purcarete, Antoine Campo, Simon McBurney, Peter Brook, Cécile Garcia-Fogel,... 

Depuis 1998, Simon met en scène, notamment «Peines d’Amour Perdues» de Shakespeare ou « L’Ultime Chant de Troie ». En 2008, Simon écrit et met en scène «Pénélope, ô Pénélope», puis «Ménélas rapsodie» en 2013 et «Le dernier jour du jeûne» en mars 2014.

 

Au cinéma, Simon débute avec Cédric Klapisch et joue notamment  dans « Chacun Cherche son Chat » et « Ni Pour, Ni Contre (Bien au Contraire) ». Il enchaîne « J'irai au Paradis car l’Enfer est ici » de Xavier Durringer, « Tempête dans un Verre d’Eau » de Arnold Barkus et « Ararat » de Atom Egoyan. En 2002, il décroche le rôle principal dans   « Un Monde Presque Paisible » de Michel Deville. Vont suivre « La Vérité sur Charlie » de Jonathan Demme, « Yes » de Sally Potter, « J'ai vu tuer Ben Barka » de Serge Le Péron. Dans « Prendre Femme » de Ronit Elkabetz il reçoit plusieurs prix d'interprétation. En 2005, il incarne le méchant dans « Casino Royale », un James Bond réalisé par Martin Campbell. Il collabore avec Robert Guédiguian dans « Le Voyage en Arménie » et «L’Armée du Crime», puis avec Bourlem Guerdjou, Marie-Pascale Osterrieth, Frédéric Balekdjian, ou encore Thomas Lilti.

À la télévision, ses prestations sont très remarquées comme dans «Pigalle, la nuit» d’Hervé Hadmar ou Kaboul Kitchen, des séries Canal+ ou encore dans le téléfilm «Qu’est-ce qu’on va faire de toi ?» de Jean Daniel Verhaeghe.

Parallèlement, on le retrouve à l’affiche de «Zero Dark Thirty» de Kathryn Bigelow, mais également dans bon nombre de longs-métrages avec des réalisateurs tels que Frédéric Berthe, Fabrice du Welz, Ronit Elkabetz ou Fatih Akin.

 

bottom of page